Témoignages - Lindauer Susan | |
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11-Septembre : Susan Lindauer et les bandes vidéo manquantes du World Trade Center
La lanceuse d’alerte Susan Lindauer nous livre dans cet article un des aspects les moins connus et aussi les moins étayés du 11-Septembre, à savoir l’apparition nocturne dans les semaines précédant les attentats, de mystérieuses camionnettes dans les parkings souterrains du World Trade Center. Ex-agent de la CIA chargée en 2001 des contacts avec l’ambassade irakienne à New York, Susan Lindauer apporte ici son témoignage sur le 11/9 et la période qui l’a précédé, mais cette fois vu de l’intérieur des services secrets. Ses prises de position et sesdénonciations publiques lui vaudront un an de prison lorsqu’elle sera arrêtée en 2005 au titre du PATRIOT ACT pour "activité d’espionnage pour un gouvernement étranger". Détenue sans jugement et dans des conditions extrêmement dures, elle sera estimée "psychologiquement instable" et relâchée en 2006 par les autorités américaines qui éviteront ainsi un procès publicet une exposition médiatique potentiellement très gênants.
Susan Lindauer, whistleblower du 11-Septembre,
ex-agent de la CIA en charge des contacts avec l’ambassade d’Irak à New York en 2001,
auteur du livre "Extreme prejudice"
Les bandes vidéo manquantes du World Trade Center
par Susan Lindauer, sur CoupMedia, le 19 octobre 2011
Traduction Vincent pour ReOpenNews
Le 23 août 2001, vers 3 heures du matin, les caméras de sécurité situées dans les parkings du World Trade Center (WTC) ont filmé l’arrivée de deux ou trois camionnettes. Le visionnage [des bandes] a permis de voir que ces fourgons ne ressemblaient en rien à ceux utilisés par les services de nettoyage, les couleurs étaient différentes et les sigles absents. Encore plus étrange, toutes les camionnettes d’entretien étaient reparties des Tours à 2h30 du matin – environ une demi-heure avant l’arrivée du deuxième convoi de camionnettes. Selon ma source au Département d’Etat, qui bénéficie du plus haut niveau d’accréditation de sécurité, et qui m’a informée de cette activité nocturne inhabituelle, aucune camionnette correspondant à cette description n’avait pénétré dans le World Trade Center à cette même heure dans les semaines ou les mois précédant cette date. Cet événement fut unique.
Les caméras de sécurité ont filmé les camionnettes quittant les Tours vers 5 heures du matin – avant que la première vague de personnalités de Wall Street au volant de leurs Mercedes ou de leurs BMW ne soit arrivée pour surveiller les marchés.
Durant les 10 à 12 nuits suivantes, les mêmes mystérieux fourgons sont arrivés à la même heure étrange au World Trade Center – après que les équipes d’entretien aient quitté le bâtiment et avant que les plus fanatiques barons de Wall Street ne soient arrivés au travail. Les camionnettes ont été aperçues dès le 23 août 2001 environ, et jusqu’au 3 ou 4 septembre 2001. Après cette dernière nuit, elles n’ont plus jamais réapparu au WTC.
D’ailleurs, plus personne n’a entendu parler de ces camionnettes. La Commission sur le 11/9 n’a jamais été informée de leur surprenante présence dans les Tours trois semaines avant les attentats du 11/9. Pratiquement personne au sein du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9 n’a connaissance de cette activité nocturne tout à fait inhabituelle.
En fait, les bandes vidéo des caméras de sécurité pourraient être les parties manquantes les plus significatives du puzzle du 11/9. Mon informatrice au Département d’État était convaincue que ces fourgons mystérieux transportaient des explosifs à l’intérieur des bâtiments, et qu’une équipe non identifiée avait câblé le World Trade Center pendant ces heures nocturnes en vue d’une démolition contrôlée. Cette personne n’a pas ébruité l’affaire, afin de préserver son emploi, sa retraite et sa réputation – sachant que d’autres qui avaient parlé ont été virés ou envoyés en prison (j’ai connu cela aussi).
Démolition contrôlée
D’autres preuves appuient la thèse de la démolition contrôlée des Tours, en parallèle des détournements. Les pompiers et les équipes de maintenance ont rapporté avoir entendu des détonations d’explosifs dans les Tours le 11/9. Des rapports antérieurs montrent que [l’étude] des poussières du World Trade Center a révélé des traces d’ « explosifs à base de thermate » – un dérivé de bombe aluminothermique.
Une réaction aluminothermique implique un mélange d’oxyde de fer et d’aluminium, tandis que la thermate contient également l’élément « soufre ». Lorsque le mélange oxyde de fer-aluminium est mis à feu, une réaction très puissante a lieu, produisant la fusion du métal – et générant de la poussière, dans le cas de la thermate. La réaction est extrêmement exothermique, ce qui signifie qu’une grande quantité de chaleur est dégagée, produite par un agent de réduction hautement puissant.
Au demeurant, à l’approche du 10ème anniversaire des attentats, la majorité des Américains ne comprennent pas la façon dont le scénario de la démolition contrôlée s’intègre dans celui des détournements d’avion et des attaques aériennes contre le World Trade Center - qui ont été vues et revues dans le monde entier au travers des médias jusqu’à ce que l’image en soit gravée au plus profond de notre mémoire collective.
Une fausse dichotomie existe encore aujourd’hui selon laquelle l’une ou l’autre des formes d’attaque était possible, mais pas les deux en même temps. Certains membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9 contestent vigoureusement que les deux aient pu se produire conjointement. Et la plupart des grands médias refusent d’admettre l’hypothèse de la démolition contrôlée.
Quand les gens s’aperçoivent que le 11/9 correspond [en réalité] à une série d’événements survenus tout au long du mois d’août 2011, le déroulement séquentiel de cette tragédie prend alors tout son sens.
La difficulté est de rejeter tout ce qui a été enseigné au public au sujet du 11/9 – enseigné de telle façon à accommoder les politiciens et les grands médias, qui ont simplifié le récit pour le « vendre » au public.
Tout d’abord, contrairement à ce qui a été dit dans les médias et lors des discours officiels, les services de renseignement américains ou étrangers s’attendaient aux attentats du 11/9 – et avaient [précisément mentionné] des détournements d’avions et des frappes contre le World Trade Center. Même la date était connue, quelque part entre fin août et mi-septembre.
Je raconte ici ma propre expérience, à titre de preuve. Cela a été corroboré par la déposition devant un tribunal de Parke Godfrey, un professeur d’informatique à l’Université York de Toronto. Il a livré sa déclaration sous serment devant la Cour Fédérale du District Sud de New York – à 900 mètres de l’endroit où le World Trade Center honorait l’horizon de sa présence.
Le 2 août [2001], la date à laquelle il fut confirmé par les auditions du Sénat que Robert Mueller allait devenir le directeur du FBI, mon contact à la CIA, le Docteur Richard Fuisz, m’a demandé de ne pas me rendre à New York, car des attentats contre le World Trade Center impliquant des détournements d’avion étaient ‘’considérés comme imminents,’’ avec l’éventualité de ‘’grosses pertes humaines’’ ainsi qu’un ‘’possible dispositif miniature thermonucléaire’’ (la thermite).
Notre équipe a essayé par tous les moyens d’arrêter ce complot. Mais tout le monde n’était pas d’accord pour nous aider…
Des menaces contre l’Irak
Dès avril – mai 2001, une décision avait été prise aux plus hauts échelons du gouvernement que la guerre contre l’Irak serait en jeu après un scénario à la 11/9.
En tant qu’agent principal [du FBI] en charge des contacts avec l’ambassade irakienne à New York, on m’ordonna d’informer les diplomates de la possibilité d’une guerre s’il était déterminé que l’Irak possédait des renseignements exploitables sur un complot mettant en jeu des détournements d’avion, mais avait omis de les transmettre [aux autorités US] par mon intermédiaire.
Après avoir ignoré le message, je fus informée que la menace provenait des plus hauts échelons du gouvernement, au-dessus du directeur de la CIA et du Secrétaire d’État. Elle ne pouvait venir que du Président George Bush, du Vice-président Dick Cheney ou du Secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
Les diplomates irakiens levèrent les bras au ciel : ils n’avaient rien à nous donner, dirent-ils. « Mais allez-y, m’ont-ils confié, envoyez vos agents du FBI. Ils seront les bienvenus à Bagdad. Nous désirons la paix avec les Etats-Unis. Peut-être qu’ils trouveront quelque chose ? » Malgré tout le brouhaha qui suivit le 11/9, il est clair que George Bush ne répondit pas à l’invitation des Irakiens.
Durant tout l’été [2001] il y avait eu de nombreux bavardages au sein de la communauté du renseignement sur le complot du 11/9. La plupart des personnes dans le renseignement avaient rejeté l’idée même du scénario. Ma propre équipe, triangulant avec la CIA et la DIA (Defense Intelligence Agency) avait fait tout son possible pour obtenir des renseignements exploitables de la part de Bagdad.
Toutefois, bien que nous ne comprenions pas ce qui se tramait, nos efforts se heurtèrent à un mur d’indifférence de la part du Département de la Justice, qui ne nous aida que de manière superficielle.
Par respect pour l’Histoire, les Américains et la communauté internationale ont le droit fondamental de comprendre les actions conduites par les services de renseignement avant les attentats – car cela montre des interférences générées à haut niveau.
Les événements du jeudi 2 août 2001 – mon contact à la CIA, le docteur Richard Fuisz et moi-même discutions au téléphone de notre profonde conviction qu’une attaque était imminente.
Le samedi 4 août – j’ai rendu visite pour la dernière fois avant le 11/9 à l’Ambassade irakienne à New York, insistant pour obtenir de Bagdad le plus petit renseignement utile qui permettrait de déjouer le complot.
Le week-end du 4 et 5 août – de drôles de types de la NSA sont arrivés pour « fouiller » le bureau où je travaillais comme consultant à temps partiel. Bien sûr, le bureau était fermé pour le week-end, je ne m’étendrai pas sur la façon dont ils ont eu accès au bureau. Cependant, lors de leur perquisition, ils ont pris possession d’une ‘’preuve de vie,’’ à défaut d’une autre expression. C’était un exemplaire du Wall Street Journal datant du 30 juillet 2001 – la même semaine que ma conversation avec le docteur Fuisz – adressé à la société, avec l’adresse et le nom de l’homme pour qui j’avais travaillé.
L’exemplaire du 30 juillet 2001 du Wall Street Journal refit surface sur mon bureau – neuf années après les attentats – lors d’un voyage au Japon pour des conférences sur la publication de mon livre, "Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Iraq" qui propose une analyse détaillée des avertissements lancés par notre équipe avant le 11/9, l’enquête sur le 11/9 lui-même, et une approche de l’accord de paix mis au point avec les diplomates irakiens. Etant donnés les bouleversements survenus dans ma vie durant cette dernière décennie – dont une année en prison sur une base militaire du Texas, alors que le gouvernement camouflait les avertissements lancés par notre équipe avant le 11/9 ainsi que les véritables faits concernant les services de renseignement qui ont précédé la guerre avec l’Irak – aucun exemplaire du Wall Street Journal n’aurait pu rester aussi longtemps sur mon bureau.
Certains agents du renseignement seront immédiatement conscients de cet état de fait. L’exemplaire du Wall Street Journal prouve au-delà de toute question que d’autres types bizarres suivaient en temps réel les conversations de notre équipe au sujet de la conspiration environ six semaines avant que ne se produise le 11/9. Le journal a dû être jeté hors du bureau plusieurs semaines avant les attentats. Quelqu’un l’a [nécessairement] ramassé presque immédiatement après ma conversation avec le docteur Fuisz.
Vous voyez ? D’autres équipes essayaient également de connaitre le scénario des attentats.
Tout ceci met en avant l’activité frénétique qui a précédé le 11/9. Ça s’est beaucoup agité en coulisse. Et les services de renseignement sont tout sauf passifs. Au contraire, il existe une prise de risque ingénieuse et une volonté proactive de résoudre les problèmes. Personne ne rechigne à la tâche.
Les Américains ne savent pas encore que le lundi 6 août, j’ai rencontré le docteur Fuisz et que nous avons élaboré un plan d’action pour demander à la Maison Blanche de passer ce complot de détournement d’avion au niveau ‘URGENT’.
Ce même lundi 6 août, la CIA a remis au Président Bush un mémorandum avertissant d’une vraisemblable conspiration terroriste impliquant al-Qaïda. Je peux me tromper, mais j’ai toujours pensé que le docteur Fuisz avait contribué à ce rapport. Sinon, cela prouve à nouveau qu’une large portion des services de renseignement américains était passée à un niveau d’alerte élevé, assez longtemps à l’avance pour empêcher les attentats. Suivant les instructions du docteur Fuisz, le mardi 7 août, ou le mercredi 8 août, j’ai passé un appel d’urgence à l’équipe privée du Procureur général John Ashcroft. M’identifiant comme agent du Renseignement américain couvrant l’Irak et la Libye aux Nations-Unies, j’ai transmis notre avertissement sur le complot des détournements d’avion et sur une frappe ciblée contre le World Trade Center.
J’ai demandé que soit diffusé un message d’alerte à toutes les agences fédérales, afin qu’elles recherchent le moindre élément d’information impliquant des détournements d’avion et une frappe ciblée contre le WTC. J’ai prévenu de l’imminence des attentats dont résulteraient des ‘pertes massives’, et que cette situation devait être considérée avec un haut degré d’urgence.
L’équipe du Procureur général m’a tout de suite communiqué un numéro de téléphone au Bureau du Contre-terrorisme, et m’a demandé de répéter ce que je venais de dire. Ce que je fis immédiatement. Plus tard dans la semaine, le 9 ou 10 août, je me rendis chez mon cousin de Virginie à Arlington, Andrew Card – Chef de cabinet du Président Bush – prête à délivrer le même message. J’ai attendu deux heures devant sa maison. Les voisins m’observaient depuis leur fenêtre, pendant que je m’enfilais cigarette sur cigarette dans ma voiture. (Oui, j’ai arrêté de fumer [depuis]). En repartant [sans avoir pu voir Andrew Card – NdT], je me suis rappelée que j’étais peut-être en train de commettre la plus grosse erreur de ma vie.
L’enfer que fut pour moi l’opération de dissimulation
Je suis très fière des efforts entrepris par mon équipe avant le 11/9 et pendant l’enquête sur le 11/9. Les Américains ont finalement appris très tardivement tout cela, parce que j’ai eu de très gros problèmes avec les Fédéraux lorsque j’ai essayé de parler. J’ai subi cinq années d’inculpation au titre du Patriot Act, et une année d’emprisonnement sur une base militaire sans procès, lorsque les Républicains ont décidé de réinventer les faits sur le 11/9 et sur les informations du Renseignement avant la guerre en Irak, niant toute contribution de l’Irak à l’enquête sur le 11/9, ainsi que l’existence d’un accord de paix.
Notre relation s’est détériorée lorsque je fus convaincue que les pontes républicains avaient permis au 11/9 d’avoir lieu, tuant au passage des milliers d’innocents, citoyens américains ou d’autres pays, afin de monter un dossier-bidon pour aller faire la guerre en Irak et en Afghanistan.
Je fus outragée que le gouvernement américain ait pu agir de la sorte – comme un prétexte pour justifier une agression militaire et les dépenses massives [s’ajoutant au] déficit pour soutenir le complexe militaro-industriel, entrainant la faillite les classes moyennes. Je me suis exprimée haut et fort sur le fait que les Américains avaient droit à une transparence totale sur nos activités avant le 11/9 et sur la guerre en Irak. Au diable les politiciens !
Il ne fait pas de doute que mes actes ont représenté une grave menace pour l’exploitation politique du 11/9 et du mythe selon lequel à Washington « les dirigeants auraient fait face au terrorisme d’une manière exceptionnelle. » Je me suis longtemps crue "Dorothée au pays d’Oz" tirant la couverture qui cachait le magicien, et exposant sa supercherie devant les malheureux et confiants Munchkins.
En vérité, les épouvantails ont fait du bon boulot avant le 11/9. Tout s’est déroulé à la vitesse de l’éclair en amont de la menace. Nous aurions pu facilement empêcher le 11/9 si le ministère de la Justice avait donné suite aux demandes de coopérations inter-agences. Nous avions tout le temps nécessaire pour alerter le NORAD ou poster une batterie anti-aérienne au sommet des tours du World Trade Center.
Voilà pourquoi les dirigeants du Good Old party [le parti républicain - NdT] devaient m’écarter – puisque je refusais de faire marche arrière sur ce point. Si j’avais été libre, le peuple américain et la communauté internationale auraient appris la vérité bien plus tôt.
Démolition contrôlée
Malheureusement pour nous tous, j’ai appris au travers de conversations privées avec certaines sources comme mon collègue au Département d’Etat, que notre équipe n’était pas la seule au travail avant le 11/9.
Bien que personne parmi nous ne se soit attendu à de tels événements, j’en suis arrivée à penser que nos efforts se sont heurtés à une force équivalente, sous la forme d’une équipe indépendante observant comme nous le déroulement des événements.
Ayant participé à de nombreuses enquêtes liées au terrorisme, je sais que la plupart des attentats terroristes sont bruyants, enfumés et chaotiques – et ne parviennent jamais à la destruction totale de la cible. L’attentat contre le World Trade Center en 1993 par les Égyptiens Ramzi Youseff et Sheikh Abdul Rahmon a tué 5 personnes. L’attentat à la bombe contre l’U.S.S. Cole dans le port d’Aden au Yémen a fait 12 victimes. S’ils n’avaient pas été aidés, les attentats du 11/9 n’auraient jamais fait autant de victimes non plus –au maximum 100 personnes.
Ajoutez à la recette un groupe de pilotes incompétents – qui étaient également des agents du renseignement US dans certains cas. Encore une fois, de par mon expérience personnelle, je sais que les agents sont de tout temps surveillés par les gestionnaires de diverses agences. Je suis convaincue qu’un cercle interne a anticipé les événements [du 11/9], et s’est aperçu que leurs gars à bord des avions ne pourraient pas occasionner les dégâts escomptés pour justifier du calendrier belliciste en Irak.
Je ne peux blâmer le peuple américain de se sentir dépassé, ni même d’avoir le cœur brisé par ces révélations. Argument ultime, les incendies dus au kérosène n’auraient pas pu provoquer l’effondrement de ces tours, ou du Bâtiment 7, transformant presque toute la structure d’acier du WTC en poussière et en acier fondu. Ajoutez à cela les rapports d’urgence de la CIA qu’un système thermonucléaire miniature serait utilisé dans les attentats - la raison pour laquelle je devais me tenir éloignée de New York.
L’activité nocturne étrange au World Trade Center durant les trois semaines précédant les attentats est pour moi un déclic. Je suis convaincue à 100% que ces Tours ont été câblées avec des explosifs.
Oui, les avions détournés ont bien frappé les Tours. Mais abattre le WTC afin de justifier de la guerre en Irak demandait un peu plus que cela.
Je ne peux pas spéculer sur qui a pu remplir les tours d’explosifs. Je pourrais essayer de deviner, mais mon entrainement d’agent exige que je reste concentrée sur ce que j’ai pu observer de première main, et de connaître mes propres limites.
Pourquoi le monde devrait-il s’inquiéter autant ? A ce stade, il est vital pour le peuple américain d’empêcher les politiciens de Washington d’utiliser le 11/9 pour leurs ambitions personnelles. La guerre contre le terrorisme fut une grande tromperie faite à nos dépens. Ceux qui soutiennent la guerre contre le terrorisme détruisent notre économie fiscale et notre classe moyenne.
Voilà pourquoi le peuple américain doit connaître la vérité sur le 11/9. La crise a atteint un stade où nous devons mettre fin à ces dépenses astronomiques pour la Défense. Nous devons suspendre les guerres en Irak et en Afghanistan. Sinon, cette fraude du 11/9 va ruiner notre nation pour toujours.
J’espère seulement qu’il n’est pas déjà trop tard.
Susan Lindauer
Traduction Vincent pour ReOpenNews
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Questions sans réponses ? - Anomalies dans la chronologie | |
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Anomalies dans la chronologie du 11-Septembre : les signaux de détresse indiquent que les avions se sont écrasés plusieurs minutes AVANT que les Vols 11 et 175 ne percutent le World Trade Center
Parmi les questions qui restent toujours sans réponses malgré les neuf années écoulées depuis les attentats du 11/9, s’en trouvent quelques-unes relativement techniques, mais d’autant plus troublantes qu’elles s’appuient sur les propres témoignages des pilotes ou des contrôleurs aériens présents ce jour-là dans la zone de New York. L’article qui suit nous expose deux anomalies flagrantes du scénario décrit par la théorie officielle sur le 11-Septembre : des signaux de détresse ont été émis par deux avions plusieurs minutes avant les crashs contre le World Trade Center, alors qu’ils auraient dû l’être au moment précis des impacts. En effet, ces radio-balises de détresse ne peuvent pas être déclenchées manuellement, et ne s’activent qu’en cas de choc violent. Alors quelle est l’explication ? A ce jour, aucune.
Le Vol UA 175 quelques secondes avant son impact contre la Tour Sud
Les anomalies dans la chronologie du 11-Septembre : les signaux de détresse indiquent que les avions se sont écrasés plusieurs minutes AVANT que les vols 11 et 175 ne percutent le World Trade Center
par Shoestring, sur 911Blogger, le 8 septembre 2010
Des radio-balises de détresse équipant les avions, et qui sont censées ne s’activer qu’en cas de crash de l’appareil, se sont déclenchées à l’approche de New York plusieurs minutes avant que les deux avions ne heurtent le World Trade Center le 11 septembre 2001. Ces événements, qualifiés d’impossibles par le rapport officiel sur le 11/9, veulent que des émetteurs de localisation d’urgence (Emergency Locator Transmitters ou ELT) permettant d’aider à localiser l’endroit où un appareil s’est écrasé en diffusant un signal distinctif, se soient activées plus de deux minutes avant que le vol 11 d’American Airlines ne percute le WTC, et plus de 4 minutes avant que le vol 175 d’United Airlines ne s’écrase contre la Tour Sud. De plus, aucun ELT ne s’est déclenché au moment où ces avions ont percuté les Tours, alors que c’est précisément à ce moment-là qu’on se serait attendu à les voir le faire.
Une balise de détresse s’est activée plus de deux minutes avant le crash du vol 11
Le vol 11 d’American Airlines a heurté la Tour Nord du World Trade Center à 8h46 et 40 secondes[1]. Pourtant, deux minutes et demie plus tôt, David Bottiglia, un contrôleur aérien du centre de la FAA de New York, a reçu un important message en provenance d’un avion volant dans l’espace aérien qu’il surveillait ce jour-là. À 8h44, le pilote du vol US Airways 583 a dit à Bottiglia : «Je viens juste de détecter un ELT sur 121.5 [MHz]. C’était très bref. Et puis ça s’est arrêté. » (121.5 mégahertz est une fréquence d’urgence utilisée par les ELT pour transmettre leurs signaux de détresse). Une minute plus tard – à peu près 90 secondes avant que le Vol 11 ne percute le WTC – un autre avion dans la zone de New York a signalé ce même événement. Le pilote du vol Delta Airlines 2433 a dit à Bottiglia : « Nous aussi, nous avons détecté un signal ELT. Mais c’était très faible.» [2] D’après l’auteur Lynn Spencer, « le signal ELT a été capté par plusieurs installations à peu près à ce moment-là.[3]
Peter McCloskey, un coordinateur en charge de la supervision du trafic aérien, et qui travaillait au Centre de New York, s’est souvenu par la suite que l’ELT s’était activé à l’approche de « Lower Manhattan » [la pointe sud de la presqu'île de Manhattan – New York, NdT]. [4] Et pratiquement au moment où le vol 11 frappait le World Trade Center, une personne connectée à la téléconférence de la FAA a déclaré : « Nous venons de recevoir une information selon laquelle un ELT a été émis dans la zone où se trouvait l’écho radar du Vol 11. » (Avant de disparaitre des écrans radars, l’écho du Vol 11 indiquait une position à environ 20 miles de l’aéroport JFK International) [5]
Pourtant, alors qu’un ELT s’est bien déclenché quelques minutes avant que le vol 11 ne percute le WTC, il semble qu’aucun ELT ne l’ait fait au moment du crash lui-même.
Une balise de détresse s’est activée plus de quatre minutes avant le crash du vol 175
Le vol 175 d’United Airlines a heurté la Tour Sud du World Trade Center à 9h03 et 11 secondes. [6] Mais, comme pour le premier crash, un ELT s’est déclenché dans la zone de New York plusieurs minutes avant que l’avion ne percute la Tour.
Juste avant 8h59, soit quatre minutes avant le crash du Vol 175, le pilote du Vol 583 qui avait rapporté avoir capté le signal ELT avant que la Tour Nord ne soit percutée, a dit à David Bottiglia du Centre de New York, qu’il avait remarqué qu’ un autre signal ELT s’était déclenché. Le pilote a dit : « Je suis navré de vous embêter avec tout ça, mais maintenant on capte un autre ELT sur le 121.5.» [7]
Comme lors du premier crash, bien qu’un ELT ait été émis quelques minutes avant que le Vol 175 ne percute la Tour Sud, il semble qu’aucun ELT ne se soit déclenché au moment précis du crash.
Une balise ELT ne doit s’activer que si l’appareil s’écrase
Une balise de détresse de type (ELT) est un émetteur-radio muni de batteries, qui équipe les avions civils et est capable d’émettre un signal distinctif sur les fréquences d’urgence 121.5 et 243.0 mégahertz. En position « armé », un ELT doit automatiquement d’activer en cas de crash et continue d’émettre un signal de détresse, aidant ainsi les secours à localiser l’appareil. [8]. Les ELT sont obligatoires sur pratiquement tous les avions civils enregistrés aux USA.
Paul Thumser, un responsable opérationnel du Centre new-yorkais de la FAA au moment du 11-Septembre, avait alors plus de vingt ans d’expérience dans le contrôle aérien, et aussi en tant que pilote de ligne. Il a fourni à la Commission d’enquête sur le 11/9 des informations détaillées sur les ELT. Thumser a expliqué que les ELT sur les Boeing 767 – le modèle d’avion qui a heurté les deux Tours du WTC – ne pouvaient pas être activés par le pilote. Et donc, pour un 767, « un impact est le seul moyen de les activer. »
De plus, le réglage de sensibilité des ELT équipant les 767 « n’est pas faible », et par conséquent, il est impossible qu’ils se soient déclenchés suite à un virage brusque ou un atterrissage mouvementé.
Thumser en arrive à la conclusion qu’« il faudrait qu’il y ait eu un impact important pour pouvoir déclencher l’ELT. » [10] Terry Biggio, le responsable des opérations du centre de la FAA à Boston, a de la même façon déclaré devant la Commission d’enquête sur le 11/9 qu’ « un ELT n’est pas un signal envoyé par un des pilotes. C’est un signe caractéristique d’un crash. » [11]
Cela signifie qu’un ELT n’aurait pas dû s’activer plus de deux minutes avant que le Vol 11 ne percute la Tour Nord, ni plus de quatre avant que le vol 175 ne heurte la Tour Sud. Si de telles radio-balises à bord des Vols 11 et 175 s’étaient déclenchées, cela aurait dû se faire au moment précis des crashs contre le WTC, ce qui ne s’est pas produit. C’est sans doute pour cette raison que Mike McCormick, le responsable du contrôle aérien au centre new-yorkais de la FAA a expliqué devant la Commission que selon lui, dans la meilleure des hypothèses, le signal ELT transmis «quelques instants avant l’impact du vol AA11 » « n’avait aucun rapport avec l’événement » du crash. [12]
McCormick a aussi déclaré devant la Commission sur le 11-Septembre que les signaux ELT «surviennent accidentellement » et qu’une « grande majorité d’entre eux sont des fausses alertes. » [13] Mais cela n’a pas pu être le cas avec les signaux perçus avant les crashs contre le WTC. Aucun des contrôleurs aériens chargés de surveiller les Vols 11 et 175 n’a rapporté avoir vu les ELT d’avions se déclencher accidentellement à cette heure-là. Et le fait d’avoir un avion dans la zone de New York avec un ELT qui se déclenche accidentellement juste avant que le Vol 11 ne percute le WTC, puis un autre ELT d’un autre avion dans cette même zone qui s’active lui aussi accidentellement quelques instants avant le crash du Vol 175 contre le WTC, constituerait une coïncidence tout simplement trop incroyable pour être vraisemblable.
Les éléments inexplicables
Ces cas étranges de signaux de détresse émis dans la zone de New York juste avant que le WTC ne soit percuté, soulèvent de sérieux doutes sur la version officielle des attentats du 11-Septembre. D’après cette version, si des ELT se sont déclenchés, ils l’ont nécessairement fait au moment où les avions ont heurté les Tours, et pas plusieurs minutes avant. [14] Ces éléments ne trouvent pas d’explications, et c’est pourquoi il est impératif qu’une enquête les étudie et essaie de leur donner un sens. Mais bien que plusieurs contrôleurs aériens aient fait part de signaux ELT dans leurs témoignages devant la Commission, le « rapport final de la Commission sur le 11/9 » n’offre aucune explication sur ces éléments anormaux.
De nombreuses questions restent toujours sans réponses. Par exemple, est-ce que la source des signaux ELT a été identifiée ? Si c’est le cas, les signaux provenaient-ils bien des avions qui se sont encastrés dans le WTC, ou bien venaient-ils d’ailleurs ? Et les transmetteurs eux-mêmes, ont-ils été retrouvés ? Après tout, selon la FAA, « dans la plupart des cas, l’ELT est attaché à la structure de l’avion le plus à l’arrière possible dans le fuselage, ou dans la queue de l’appareil de façon à minimiser les dommages subis par la balise en cas de crash. » [15] Donc, les transmetteurs auraient dû « survivre » aux crashs s’ils se trouvaient dans les avions qui ont percuté les Tours Jumelles. Si ces ELT ont été récupérés, se trouvaient-ils dans les décombres du WTC ? Ont-ils été retrouvés ailleurs ?
Paul Thumser a expliqué devant la Commission d’enquête que les signaux de détresse « crédibles » émis par des ELT (i.e, c’est-à-dire ceux identifiés comme n’étant pas de fausses alertes) devaient être communiqués au Centre de coordination des secours de la Défense aérienne (Air Force Rescue Coordination Center, ou AFRCC), qui à l’époque des attentats du 11-Septembre, se trouvait à la base de l’Air Force de Langley en Virginie. [16] Question : l’AFRCC a-t-elle localisé la source des signaux de détresse ELT, ou bien a-t-elle découvert quelque chose à leur sujet ? La seule information pertinente évoquée par la Commission d’enquête sur le 11/9 apparait dans un de ses mémos, et dit : « Nous nous sommes rendus au RCC, et ils reçoivent tous les ELT ; en telle quantité d’ailleurs que c’est plus une nuisance qu’autre chose, et ils ont des procédures spéciales et des logiciels pour traiter tout cela. » [17]
Il est clair que nous ne savons presque rien, et qu’une véritable enquête sur ces signaux de détresse permettrait à la fois de déterminer ce qui s’est exactement passé le 11-Septembre, et aussi d’orienter les enquêteurs vers ceux qui ont réellement conduit ces attaques terroristes.
Shoestring, sur 911Blogger, le 8 septembre 2010
Traduction GV pour ReOpenNews
NOTES
[1] 9/11 Commission, The 9/11 Commission Report: Final Report of the National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States. New York: W. W. Norton & Company, 2004, p. 7. [2] "Transcript of United Airlines Flight 175." New York Times, October 16, 2001; "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With David Bottiglia." 9/11 Commission, October 1, 2003; "Sensitive Security Information: Chronology of September 11, 2001." Federal Aviation Administration, n.d. [3] Lynn Spencer, Touching History: The Untold Story of the Drama That Unfolded in the Skies Over America on 9/11. New York: Free Press, 2008, p. 50. [4] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With Peter McCloskey." 9/11 Commission, October 1, 2003. [5] FAA Audio File, Herndon Command Center, Position 14. Federal Aviation Administration, September 11, 2001. [6] 9/11 Commission, The 9/11 Commission Report, p. 8. [7] FAA Audio File, New York Center, Position R42, 8:51 a.m.-9:10 a.m. Federal Aviation Administration, September 11, 2001; "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With David Bottiglia"; "The Hunt for American Air Eleven After WTC 1 is Hit." 9/11 Commission, n.d. [8] Christopher G. Morris (Editor), Academic Press Dictionary of Science and Technology. San Diego, CA: Academic Press, 1992, p. 739; U.S. Army Field Manual FM 3-04.300: Airfield and Flight Operations Procedures. Washington, DC: Headquarters, Department of the Army, 2008, p. E-6. [9] "Regulatory Brief: Emergency Locator Transmitters (ELTs)." Aircraft Owners and Pilots Association, January 22, 2009. [10] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With Paul Thumser." 9/11 Commission, October 1, 2003. [11] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) Interview With Terry Biggio, Facility Deputy Manager, Boston Center." 9/11 Commission, September 22, 2003. [12] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center (ZNY) Follow-up Interview With Mike McCormick." 9/11 Commission, December 15, 2003. [13] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With Mike McCormick, Air Traffic Manager." 9/11 Commission, October 1, 2003. [14] Note that while ELTs are activated in a majority of aircraft crashes, they are not perfect, and have sometimes failed to go off when planes have crashed. See "Regulatory Brief: Emergency Locator Transmitters (ELTs)." [15] "Emergency Locator Transmitters." Federal Aviation Administration, April 2, 1990. [16] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With Paul Thumser"; "Air Force Rescue Coordination Center." U.S. Air Force, November 12, 2008. [17] "Memorandum for the Record: Federal Aviation Administration (FAA) New York Air Route Center Interview With Paul Thumser."
En lien avec cet article :
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11-Septembre : Vers un basculement de l’opinion scientifique ?
Tout récemment, l’ingénieur chimiste Mark Basile a confirmé, après analyses, la présence de matériaux hautement inflammables de type nano-thermite (une substance exothermique Hi-Tech à usage exclusivement militaire capable de fondre l’acier instantanément) dans les décombres du World Trade Center [voir son interview filmée], corroborant les résultats d’analyses du physicien Steven Jones, duchimiste Niels Harrit de l’Université de Copenhague, et plus récemment du géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau dont nous avions publié l’étude en exclusivité sur le site de notre association ReOpen911 en mai 2010.
Ces analyses doivent-elles êtres considérées a priori comme farfelues ? L’avis de ReOpen911 est clair : cela n’est tout simplement pas possible. En effet, outre le fait que leurs auteurs sont des experts au CV bien rempli et parfaitement crédibles, la théorie de la démolition contrôlée par ajout d’énergie extérieure (que ce soit par des explosifs ou des substances exothermiques) est, en toute objectivité, la seule qui à ce jour parvient à expliquer l’ensemble des phénomènes observés :
- La vitesse de la chute des TROIS tours (comprise entre 10 et 15 secondes pour les Tours Jumelles ; de 6,5 secondes pour le WTC7), les étages inférieurs n’ayant offert pratiquement aucune résistance.
- La quasi parfaite symétrie des trois effondrements.
- L’observation de projections horizontales et « explosives » de matériaux lors de l’effondrement des Tours Jumelles, dont des poutrelles pesant jusqu’à 20 tonnes [voir l’analyse en images de ces éjections par le professeur de physique David Chandler].
CLIQUEZ POUR LA SUITE
Poussières du World Trade Center : le test du solvant exclut l’hypothèse de la peinture et confirme celle de la thermite
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/poussieres-du-world-trade-center-112883

Dans la bataille technique que se livrent certains scientifiques sur la nature des paillettes rouges/grises retrouvées dans les poussières du World Trade Center, voici un article qui pourrait clarifier les idées même pour les profanes que nous sommes. En effet nous avons d’un côté des scientifiques comme Niels Harrit, Steven Jones et sept autres, qui ont publié un article en mai 2009 dans une revue à comité de lecture expliquant pourquoi ils pensaient que ces particules étaient de nature thermitique (un matériau incendiaire, ou explosif), et de l’autre des "experts" et des "debunkers" qui contestent ces analyses et ne voient dans ces particules rouges/grises que de la banale peinture. Comment se faire une opinion ? Chacun des camps illustre sa thèse à grand renfort de schémas, de photos et de longs textes explicatifs. Eh bien, cet article apporte des éléments de réponse simples et clairs.
Notons au passage, que cette discussion par articles interposés ne doit pas faire illusion ; aucun débat scientifique n’a réellement eu lieu sur ce thème de la nanothermite retrouvée à Ground Zero et la communauté internationale de chercheurs, chimistes, spécialistes en matériaux, à quelques notoires exceptions près, s’est toujours bien gardée de prendre position d’un côté ou de l’autre. À notre grand regret, c‘est plutôt le silence qui règne parmi les scientifiques du monde entier.
Notons aussi que les arguments de composition chimique, de spectres aux rayons-X, par leur froideur technique, ne doivent pas cacher les effroyables implications que cette découverte d’explosifs hypersophistiqués – si elle est vérifée – nous apprend sur la nature des effondrements des trois tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.
Commandant Orio Palmer – Victime
du WTC. Chef du Bataillon 7, FDNY,
Manhattan
Transcription des communications radio du
Département du Feu de New York du 11 septembre
2001 : Le Chef de Bataillon Orio Palmer a pris un
ascenseur pour atteindre le 41e étage de la tour sud et a
continué par les escaliers jusqu’au 78e. Avec lui se
trouvait le Maréchal du Feu Ronald Bucca, qui avait pris
les escaliers depuis le rez-de-chaussée. Ils étaient les
premiers Sapeurs-Pompiers à atteindre une zone d’impact
d’avion dans l’une ou l’autre des Tours Jumelles. D’après
le Rapport de la Commission sur le 11 septembre 2001, le
vol 175 de United Airlines a percuté la tour sud,
« s’encastrant entre les 77e et 85e étages ».
Il est alors 9h52 du matin.
Cmdt Palmer : "de Bataillon Sept... Echelon 15, nous
avons deux poches d’incendie isolées. Nous devrions
pouvoir les éteindre avec deux lances à incendie. Envoyez
ça par radio : besoin de nombreuses 10-45 au 78e."
Echelon 15 : "A quel escalier êtes-vous, Orio ?"
Aide du Bataillon Sept : "de Sept Alpha au poste de
commandement du hall"
Echelon 15 : "de Quinze au Bataillon sept."
Cmdt Palmer : "... Echelon Quinze"
Echelon 15 : "Chef, dans quel escalier êtes-vous ?"
Cmdt Palmer : "Dans l’escalier Sud Adam de la tour sud."
Echelon 15 : "Au 78e étage ?"
Cmdt Palmer : "Dix-quatre en numéros civils, il va falloir
nous acheminer deux moteurs jusqu’ici."
Echelon 15 : "Très bien, dix-quatre, nous nous dirigeons
vers vous."
Il est alors 9h52 du matin
Aide du Bataillon Sept : "de Sept Alpha au Bataillon
Sept."
Cmdt Palmer : "tour sud, Steve, tour sud, dites-leur...
Tour Une."
Cmdt Palmer : "Quinze."
Cmdt Palmer : "Je vais avoir besoin de deux de vos
Sapeurs-Pompiers de plus dans l’escalier Adam pour
éteindre deux feux. Nous avons une lance à incendie
étirée avec laquelle nous pourrions éteindre le feu avec de
l’eau."
Echelon 15 : "Très bien, dix-quatre, nous arrivons par les
escaliers. Nous sommes au 77e étage dans l’escalier B.
Nous serons sur vous très vite."
Echelon 15 sur le toit : "de Quinze sur le toit à Quinze.
Nous sommes sur 71. Nous arrivons immédiatement."
Il est alors 9h57 du matin
"Division 3... du poste de commandement dans le hall au
poste de commandement sur le terrain."
Cmdt Palmer : "des Opérations Tour numéro Une à l'étage
au-dessus du Bataillon Neuf."
Chef du Bataillon Neuf : "du Bataillon Neuf au poste de
commandement."
Opérations du Bataillon Sept à la Tour numéro Une : "des
Opérations du Bataillon Sept de la Tour Une au Bataillon
Neuf, avons besoin de vous au-dessus du 79e étage.
Nous pouvons utiliser les escaliers de secours qui montent
au 79e étage, OK."
Bataillon Neuf : "Très bien, je vous rejoins, Orio."
Deux minutes plus tard, à 9h58 et 59s, la tour sud
s'effondre en 10 secondes. http://911research.wtc7.net
NDLR : le rapport très calme du Cmdt Palmer sur la
situation et sa confiance en sa capacité à maîtriser les
"deux poches d'incendie isolées" avec deux SapeursPompiers supplémentaires suscite des doutes sur
l'existence de feux violents au point d'impact. D'après la
thèse officielle, ces feux sont suffisamment puissants pour
ramollir significativement l'acier, ce qui a causé
l'effondrement de la tour sud deux minutes après son
dernier message radio. Voir aussi Edna Cintron.
Biographie :
http://www.ladder12fdny.com/oriopalmernewsday.html
Capitaine Dennis Tardio
Survivant du WTC.
Sapeur-Pompier Patrick
Zoda – Survivant du WTC
Caserne 7 FDNY
Film documentaire, 9/11 par Jules et Gédéon
Naudet enregistré le 11/9/2001:
Tardio: Que faisons-nous? Nous sommes sortis. Nous
avions parcouru une rue.
Zoda: Au moins deux rues.
Tardio: 2 rues.
Zoda: Et nous nous sommes mis à courir.
Tardio: Pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan.
Zoda: Etage par étage, on a détalé.
Tardio: C’était comme, c’était comme si, c’était comme
s’ils avaient des détonateurs.
Zoda: Oui, des détonateurs.
Tardio: Vous savez, comme s’ils avaient planifié de faire
écrouler le bâtiment. Boum, boum, boum, boum, boum,
boum, boum, boum, boum.
Zoda: Jusqu’en bas. Je regardais et courais. Puis vous
voyiez ce nuage de m***e vous pourchasser."
Séquence
vidéo segment 47:35 de la version de 89 minutes de
Loose Change 2nd Edition.
Barry Jennings - Survivant du
WTC. Directeur Adjoint du
Département des Services
d'Urgence
Témoin devant la Commission sur le 11
septembre. Directeur Adjoint du
Département des Services d'Urgence de l'Autorité de
l'Urbanisme de la ville de New York.Il se trouvait dans le
bâtiment numéro 7 du World Trade Center le 11
septembre 2001.
Interview avec Jason Bermas du Alex Jones Show
au cours duquel furent diffusés les enregistrements
de Barry Jennings le 19 juin 2007 :
Déclaration de Barry Jennings : « On me demanda d'aller
assurer la permanence au Bureau de la Direction des
Urgences au 23e étage du World Trade Center numéro
7...
La Sécurité et la Police nous ont fait utiliser les
monte-charge dans lesquels ils nous ont emmenés et
dans lesquels nous sommes montés.
Eh bien ! Je suis perturbé par une chose et une seule, pourquoi le World
Trade Center numéro 7 est-il tombé en fin de compte? Je
suis très perturbé par cela. Je sais ce que j'ai entendu et
j'ai entendu des explosions. Mon explication d'alors était
qu'il s'agissait du réservoir de fuel. Je suis un vieux
spécialiste en chaudières. S'il s'était agit du réservoir de
fuel, alors ça aurait été sur un seul côté du building...
Comme je l'ai dit auparavant, les deux buildings étaient
toujours debout parce que j'ai regardé des deux côtés et
qu'il n'y avait rien là. Quand je me suis rendu au 6e
étage, avant que tout cela n'arrive, il y eut une explosion.
C'est cela qui nous a forcés à retourner au 8e étage et les
deux buildings étaient toujours debout. »
Voir la bande son à 4min30s sur :
http://www.youtube.com/watch?v=MwSc7NPn8Ok&eurl=
http%3A%2F%2Fwww%2E911blogger%2Ecom%2Fdailyn
ews
Déclaration au reporter le 11 septembre 2001 :
« M. Hess du Conseil de la Corporation [de New York] et moimême nous trouvions au 23e étage [du World Trade Center numéro 7]. Je lui dis alors que nous devions
quitter les lieux au plus vite. Nous avons commencé à
descendre les escaliers et nous sommes arrivés en vue du
8e étage. Grosse explosion. Cela nous a projetés à
nouveau au 8e étage. »
http://www.youtube.com/watch?v=5IqSsTmWv7k&eurl=
NDLR : en dépit de centaines de témoignages oculaires
parlant d’explosions partout dans les Tours Jumelles,
venant de victimes condamnées, de survivants, de
personnel de secours, de journalistes et de témoins, le
Rapport de Commission sur le 11/9 ne fait pratiquement
mention à aucun d’entre eux et les ignore complètement
dans ses conclusions.
Graeme MacQueen a fait une analyse des témoignages oraux sur le 11 septembre qui
révèle que sur 503 sapeurs-pompiers new-yorkais survivants, plus de 100 mentionnent des explosions dans les Tours Jumelles.
William Rodriguez
Survivant du WTC, Médaille du National Hero Award. Employé de American Building Maintenance depuis 20 ans, responsable des inspections et de la maintenance au World Trade Center, qui détenait la clé principale d'accès aux escaliers. Il fut la dernière personne à quitter le gratte-ciel le 11 septembre et il a à son crédit d'avoir sauvé de nombreuses vies humaines. Il a reçu du Sénat de Puerto Rico une médaille, la National Hero Award, en reconnaissance de ses efforts. Fondateur du Groupe des Victimes Hispaniques A propos d'une explosion dans le sous-sol de la tour nord du World Trade Center le 11/9, avant tout impact d'avion ! "Lorsque j'ai entendu le son de cette explosion, le plancher sous mes pieds a vibré, les murs ont commencé à se fissurer et tout a commencé à trembler" indique Rodriguez, qui s'est retrouvé massé avec au moins 14 autres personnes dans un bureau.... [NDLR : À cet endroit, M. Rodriguez était dans le sous-sol B1 de la tour nord, approximativement 330 mètres en dessous du point d'impact de l'avion sur les étages 93 à 98.] "Quelques secondes après l’énorme première explosion en dessous dans le sous-sol, le plancher cliquetait encore, j'entendis une autre explosion qui venait du dessus," dit Rodriguez. "Bien que je l'ignorais à ce moment là, c'était l'avion frappant la tour, cela s'est produit quelques instants après la première explosion." Mais avant que Rodriguez ait eu le temps de réflechir, un co-équipier, Felipe David, fit irruption dans le bureau du sous-sol avec de sévères brûlures sur le visage et les bras, hurlant au secours et criant " Explosion ! Explosion ! Explosion ! David s'était trouvé tout près d’un ascenseur réservé au fret au sous-niveau 1 à environ 120 mètres du bureau lorsque le feu a jailli de la cage d'ascenseur, provoquant ses blessures. "Il était terriblement brûlé" dit Rodriguez. "La peau pendait de ses mains et de ses bras. Ses blessures ne pouvaient pas provenir de l'avion au-dessus mais seulement d'une explosion massive du dessous. Je ne m'occupe pas de ce que le gouvernement affirme, ni de ce que disent les scientifiques, mais de ce que j'ai vu : un homme terriblement brûlé par le feu d'une explosion en dessous." "Je sais qu'il y a eu des explosifs placés au-dessous du World Trade Center. J'ai aidé à secourir un homme qui en est une preuve vivante, une preuve vivante que le récit du gouvernement est un mensonge et une pération de dissimulation... "Je suis 100% en désaccord avec le récit du gouvernement" dit Rodriguez. "J'ai rencontré les gens de la Commission sur le 11/9 derrière des portes closes et pour l’essentiel, ils minimisaient tout ce que je disais vis à vis de l'usage d'explosifs pour abattre la tour nord." "Et j'ai contacté aussi le NIST. Quatre fois sans une seule réponse. Finalement cette semaine, je leur ai demandé, avant qu'ils ne présentent leurs conclusions que le carburant de l’avion aurait entraîné la chute des tours, s’ils prenaient en considération mes déclarations ou les déclarations de tous les autres survivants qui ont entendu des explosions. Ils étaient là juste à me fixer du regard avec leurs faces blanches, et ils n'ont donné aucune réponse."Phillip Morelli – Survivant du
WTC, Travailleur ayant participé à
la construction du WTC durant
sept ans
Interview Vidéo : " À 8h30 il dit qu'il a été dirigé vers le niveau B-4 dans la Tour 1 (la tour nord ) quatre étages sous le niveau du sol. "... Comme je parcourais le couloir du bâtiment dans un véhicule principal de fret, c'est à ce moment que j'ai pris le souffle, je veux dire l'impact de l'explosion, de quelque origine qu’elle soit. Elle m'a plaqué sur le sol. Et c'est là que les choses ont commencé. Ça vous renverse directement sur le plancher et vous ne saviez pas ce que c'était. Bien sûr, vous supposez que quelque-chose est tombé sur le quai de chargement, quelque chose de très lourd, quelque chose de vraiment gros. Vous ne savez pas encore ce qui est arrivé, et soudain vous sentez le plancher qui bouge... [NDLR : À cet endroit M. Morelli était dans un sous-sol de la tour nord, approximativement 330 mètres au-dessous du point d'impact de l'avion sur les étages 93 à 98.] Je courais, je me dirigeais vers les toilettes et tout à coup, j'ai ouvert la porte, je ne savais pas que c'était une salle de bain, et d'un coup un énorme impact survint encore. Et tous les carreaux du plafond tombaient. Leurs fixations légères cédaient. Les luminaires se balançaient au plafond. Je suis arrivé en courant à passer la porte et tout le reste, les murs étaient abattus. C'est alors que j'ai commencé à courir vers les parkings." Près de 100 étages en dessous d'où a frappé le premier avion, Phil en a ressenti l'impact dévastateur... "Comme je courais vers les parkings, vous savez je dois dire, tout le monde hurlait... Il y avait une grande quantité de fumée en bas. Et vous deviez clairement traverser entièrement une des deux tours du world Trade Center. C'est le chemin que nous devions parcourir. Et tout à coup c'est arrivé encore une fois. Le bâtiment 2 a été touché. Je ne sais pas cela. Je sais juste que quelque chose d’autre nous a frappé sur le plancher. Directement dans le sous-sol, vous le sentiez. Les murs s'effondraient... Tout cela continuait. Je sais que dans les sous-sols, des gens furent tués ou eurent les jambes brisées. Des gens durent avoir recours à la chirurgie esthétique car des murs les ont frappés en plein visage." NDLR : en dépit de centaines de témoignages oculaires parlant d’explosions partout dans les Tours Jumelles, venant de victimes condamnées, de survivants, de personnel de secours, de journalistes et de témoins, le Rapport de Commission sur le 11/9 ne fait pratiquement mention à aucun d’entre eux et les ignore complètement dans ses conclusions. Graeme MacQueen a fait une analyse des témoignages oraux sur le 11 septembre qui révèle que sur 503 sapeurs-pompiers new-yorkais survivants, plus de 100 mentionnent des explosions dans les Tours Jumelles.Mike Pecoraro – Survivant du
WTC, Ingénieur machiniste
affecté à l’ensemble du WTC
Article Chief Engineer 2002: Mike Pecoraro et l’un de
ses collègues étaient en train de travailler dans le soussol
de la tour nord lorsque le premier avion frappa. « On
leur avait dit de rester où ils étaient et de se tenir assis
"serrés" jusqu’à ce que le chef assistant revienne vers
eux. A ce moment cependant, la pièce dans laquelle ils
travaillaient commença à se remplir d’une fumée blanche.
"Nous avons senti le kérosène", se souvient Mike, "J’ai
pensé qu’il y avait peut-être un incendie de voiture audessus."
, faisant référence au parking souterrain situé
au-dessus du lieu où ils travaillaient. [NDLR : à cet
endroit, M. Pecoraro était dans le sous-sol de la tour nord
à environ 330 mètres en dessous du point d’impact de
l’avion, aux étages n°93 à n°98.
Les deux hommes décidèrent de prendre l’escalier pour
monter au niveau C où Vito Deleo et David Williams, deux
autres collègues, étaient supposés travailler. Lorsqu’ils y
arrivèrent, l’atelier d’usinage avait disparu. " Il n'y avait
plus rien là que des décombres" dit Mike, "je veux parler
d’une presse hydraulique de 50 tonnes ? Disparue !". Ils
hurlèrent les noms de leurs collègues mais sans obtenir
aucune réponse.
Ils virent une nappe de fumée flottant dans l’air. "Vous
pouviez vous tenir là," dit-il, "et quelques centimètres
plus loin c’était irrespirable. On ne pouvait pas voir à
travers la fumée, aussi on s’est mis à hurler. Mais il n’y
avait toujours pas de réponse."
Les deux hommes se frayèrent un passage jusqu’au
garage qui lui aussi avait disparu. "Il n’y avait plus de
murs, il y avait des gravas sur le sol et vous ne pouviez
absolument rien voir," dit-il.
Ils décidèrent de remonter de deux étages
supplémentaires vers le hall du bâtiment. Au moment où
ils atteignaient le niveau B, un étage au-dessus, ils furent
effarés de voir une porte coupe-feu en acier et en béton
et pesant près de 150 kg, froissée comme une feuille
d’aluminium et gisant au sol. "Ils nous ont encore eus" dit
Mike à son collègue en évoquant les attentats terroristes
de 1993. Ayant déjà vécu cette attaque à la bombe, Mike
se rappela avoir vu des choses similaires arrivées à la
structure du bâtiment. Il était convaincu qu’une bombe
avait explosé dans le bâtiment. Mike traversa l’embrasure
de la porte et découvrit deux personnes allongées sur le
sol. L’une était une femme de l’équipe des charpentiers,
l’autre était un liftier. Ils étaient tous les deux gravement
brûlés et blessés. »
Marlene Cruz – Survivante du
WTC, Charpentier employée au
WTC pendant 15 ans
ABC 12 Sept 2001 : Peter Jennings a
interviewé Marlene Cruz le lendemain du 11 septembre.
Mme Cruz, charpentier au WTC, a été blessée dans les
sous-sols de la tour nord du WTC le 11 septembre. Elle a
été la première accidentée du WTC à parvenir à l’hôpital
Bellevue.
Peter Jennings: Alors dites-moi comment vous vous
sentez. Comment êtes vous arrivée là ? Que vous est-il
arrivé ?
Marlene Cruz: Je travaille au World Trade Center. Je suis
dans l’équipe des charpentiers. J’allais commencer un
travail. Et je suis montée dans l’ascenseur, celui pour le
fret. Et j’ai entendu la première explosion. Et l'ascenseur
a explosé. Les portes ont explosé. Et l’ascenseur est
tombé. J’ai eu la chance qu’il soit resté bloqué entre 2
étages.
Peter Jennings: Quels étages?
Marlene Cruz: Au niveau B, dans le sous-sol... [NDLR : à
cet endroit, Mme Cruz était dans le sous-sol de la tour
nord à environ 330 mètres en dessous du point d’impact
de l’avion, aux étages n°93 à n°98]. Après la première
explosion, je suis restée allongée sur le sol environ 40
minutes.
Peter Jennings: Et vous connaissiez bien cette partie
souterraine du World Trade Center?
Marlene Cruz: Hé bien, je travaille dans cet immeuble
depuis 15 ans. Je pense que je le connais comme le dos
de ma main. Vraiment je ne m’attendais pas à une
nouvelle bombe alors que j’avais déjà vécu la première
aussi[NDLR: Mme Cruz évoque ici les attentats
terroristes de 1993].
Aussi quand j'ai entendu cette
explosion, la première chose à laquelle j'ai pensé a été :
Allez ça recommence, encore une autre bombe.
NDLR : en dépit de centaines de témoignages oculaires
parlant d’explosions partout dans les Tours Jumelles,
venant de victimes condamnées, de survivants, de
personnel de secours, de journalistes et de témoins, le
Rapport de Commission sur le 11/9 ne fait pratiquement
mention à aucun d’entre eux et les ignore complètement
dans ses conclusions. Graeme MacQueen a fait une
analyse des témoignages oraux sur le 11 septembre qui
révèle que sur 503 sapeurs-pompiers new-yorkais
survivants, plus de 100 mentionnent des explosions dans
les Tours Jumelles.
Anthony Saltalamacchia –
Survivant du WTC
Chef de Maintenance au World Trade
Center, superviseur de plus de 100
employés d'American Building Maintenance.
Interview Vidéo par William Rodriguez 9/07:
"Le matin du 11 septembre, j'étais dans mon bureau. J'étais simplement occupé à distribuer le travail à tous lesemployés.... [NDLR : À cet endroit M. Saltalamacchia était dans le sous-sol B1 de la tour nord, approximativement 330 mètres au-dessous du point d'impact de l'avion sur les étages 93 à 98.] Nous avons entendu une énorme explosion qui s'est produite dans le World Trade Center autour de 8h46 du matin. J'ai cru au début... nous avons cru... qu'elle venait du local technique. [NDLR : Le local technique était en dessous d'eux dans un sous-sol situé plus bas.] Nous avons entendu une autre série d'explosions dont le son semblait provenir des niveaux du dessus dans le bâtiment. Nous avons alors réalisé que nous nous trouvions avec un problème majeur, quelque chose de mauvais. Et alors je dirais, à peu près 14 à 15 personnes sont arrivées en courant et hurlant dans notre bureau... Alors aussitôt après, le sol du plancher a commencé à trembler. Des morceaux du plafond qui était au-dessus de nous commencèrent à se décrocher et à tomber sur nous. Nous avons su alors que quelque chose de sérieusement mauvais était en train de se produire. Un homme arriva dans le bureau. C'était un noir, véritablement tremblant, comme en état de choc. Il avait de multiples blessures. Ses bras saignaient. Sa peau pelait et se décollait. Vous pouviez voir ses chairs dessous. C'est une vision vraiment difficile à supporter. Et tandis que nous étions là, de nouvelles explosions survinrent encore. Beaucoup de cris et de confusion alors... C'était complètement enfumé et poussiéreux. Ca se présentait comme très sérieux. Nous savions que nous devions quitter le bâtiment... Le nombre d’explosions que j'ai entendues de 8h46 jusqu'au moment ou nous sommes sortis... ? Elles furent nombreuses, au moins dix ! C'était exactement comme des explosions multiples. D'où j'étais, je les ressentais comme s’il y avait eu plusieurs grenades différentes. C'est ainsi que cela s'entendait, comme si plusieurs grenades avaient été placées au loin dans le bâtiment. Ce fut ainsi, il y eut une explosion majeure, puis ensuite il y en eut des différentes tout au long de cette période jusqu'à ce que nous soyons sortis. Ce que je crois six ans après le 11 septembre ? Je ne connais pas la vérité ! Je ne crois pas un mot de ce qu'ils disent. Je n'arrive pas à y croire. Tout ce qu'ils disent, c'est de la dissimulation... Non, vraiment non, ne laissons pas cela en l'état. Je pense que nous devrions obtenir des documents pour découvrir la vérité sur ce qui s'est réellement passé, sur ce que nous n'avons pas su, et que nous devrions connaître maintenant. NDLR : en dépit de centaines de témoignages oculaires parlant d’explosions partout dans les Tours Jumelles, venant de victimes condamnées, de survivants, de personnel de secours, de journalistes et de témoins, le Rapport de Commission sur le 11/9 ne fait pratiquement mention à aucun d’entre eux et les ignore complètement dans ses conclusions. Graeme MacQueen a fait une analyse des témoignages oraux sur le 11 septembre qui révèle que sur 503 sapeurs-pompiers new-yorkais survivants, plus de 100 mentionnent des explosions dans les Tours Jumelles.118 témoins d’explosions parmi les pompiers et secouristes du 11/9
118 témoins d’explosions parmi les pompiers et secouristes du 11/9
En août 2006, le professeur Graeme MacQueen publiait une étude complète sur les témoignages recueillis auprès du Département incendie de New York (FDNY) dans les mois qui suivirent le 11-Septembre. Au travers d'un corpus de témoignages venant de 503 pompiers et secouristes qui représente environ 12.000 pages, et en appliquant une méthode de pointage rigoureuse, il a extrait 177 témoignages provenant de 118 témoins soutenant l'occurrence d'explosions au World Trade Center. Vous pourrez retrouverer ce document de référence en version complète dans notre section Dossiers avec l'ensemble des extraits de témoignages pris en compte pour cette étude en annexes. La question reste néanmoins la même : combien de temps ces témoignages vont-ils pouvoir encore être ignorés sachant qu'ils ne font que s'ajouter aux très nombreux autresdéjà disponibles ?
http://rhubarbe.net/blog/2012/09/11/11-septembre-2001-11-ans-de-fraude/
11 septembre 2001, 11 ans de fraude
Posted on 11/09/2012 by Vincent Verschoore
La vidéo ci-dessous, réalisée par l’association “Architects & Enginners for 9/11 Truth” qui regroupe un grand nombre d’architectes et ingénieurs ayant publiquement déclaré que la chute des tours – et notamment le WTC 7, qui ne fut pas touché par les avions - développe l’hypothèse de la destructon des tours par un système de démolition contrôlée.
Parmi les dizaines de témoignages de gens qualifiés, celle de Tom Sullivan à 0:45:44, un spécialiste de la démolition contrôlée travaillant pour CDI, une importante entreprise de démolition. Tout indique que WTC7 ainsi que les deux tours principales furent démolies par démolition contrôlée, et donc que le rapport officiel du NIST, au profit du gouvernement américain, est une fraude.
AE911T demande la réouverture du dossier et une investigation sérieuse et indépendante. Cet évènement a ouvert une boîte de Pandore sécuritaire utilisée par G.W. Bush et ses acolytes pour attaquer l’Afghanistan puis l’Irak – ce dernier sur base de fausses informations construites de toutes pièces par la CIA: liens entre Saddam Hussein et Al Quaeda d’une part, et armes de destruction massive en Irak d’autre part. Le 11/09 fut également à l’origine du Patriot Act signé le 26 octobre 2001 (soit un mois et demi après l’évènement) visant à priver les Américains d’un certain nombre de droits sus prétexte de la chasse à “l’ennemi intérieur”.
On peut dire que le 11 septembre a posé les fondations du monde actuel: un discours constant sur le terrorisme, islamique ou anarcho-autonome ou tout ce que l’on veut, justifiant toutes les mesures liberticides possibles; 11 ans de guerre en Afghanistan et aujourd’hui au Pakistan contre des populations locales qui subissent des milliers de morts annuels, guerre essentiellement menée par des drones armés pilotés depuis des bases US à des milliers de kilomètres de là. Ni le fiasco irakien ni l’élection de Barack Obama n’ont tiédi la folie prédatrice du complexe militaro-industriel pour qui les guerres ne sont que des points de vente de leurs armes et services. Le but n’est pas de gagner, le but est de durer.
La reconnaissance publique que le 11 septembre fut un coup monté ne pourrait faire reculer le temps et rendre la vie aux centaines de milliers de gens massacrés par les américains et leurs alliés depuis lors, mais il pourrait au moins mettre en lumière la réalité de cette époque et remettre en question les actions qui en découlent toujours à l’heure actuelle. Il pourrait faire traduire G.W. Bush, Donald Rumsfeld et Dick Cheney devant un tribunal international pour crimes contre l’humanité. Indépendamment du fait que des islamistes ont peut être effectivement réussi à toucher les deux tours et le Pentagone avec des avions détournés (la question de qui pilotait vraiment ces avions reste en débat), le fait et la manière dont les trois tours ont chuté indique, sans équivoque possible après 11 ans de recherche par des gens compétents qui n’ont rien à gagner personnellement à se mêler de cette affaire (voir beaucoup à perdre), que les tours étaient “préparées” afin de grandement amplifier le désastre et frapper l’opinion publique à tel point que la “Bush doctrine” pourrait dès lors s’appliquer sans retenue, et l’argent de la guerre couler à flot vers les poches de ses petits copains. Ce d’autant plus que des traces d’importantes transactions financières frauduleuses ayant eu lieu dans les jours et heures précédant l’attentat, à l’échelle planétaire comme au au sein de sociétés présentes dans les WTC telle Marsh & McLennan, indiquent que l’opération avait une dimension mafieuse en plus de sa dimension politique.
Triste anniversaire, mais l’espoir d’accéder un jour à la vérité est toujours permis.
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